• Philo et Psy

     

     Dans l’ordre où ça me vient.

     

    J.D. Salinger : « L’attrape-cœur »,

    Jean Genêt : « Notre-Dame-des-Fleurs »,

    Colette et toute son œuvre,

    Le professeur Laborit pour son « Eloge de la Fuite »,

    John Kennedy O'Toole et sa « Conjuration des Imbéciles »,

    Marion Zimmer Bradley : « Les Dames Du Lac »,

    Dino Buzatti : « Le K »,

    Jorge Luis Borges : « Le livre de sable »,

    Georges Perec : « La Vie Mode d’Emploi »,

    Pour finir, un philosophe (paix à ses cendres), Woody Allen :

    « Pour en finir une bonne fois pour toutes avec la culture ».

    Et pour finir encore, un petit dernier pour la route,

    le seul pavé que j’ai lu deux fois,

    le seul absent de ma bibi o teck,

    Gabriel Garcia Marquez : « Cent ans de solitude ».

    Je ne peux pas être tout à fait mauvaise...

     


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  • Philo et PsyPhilo et PsyPhilo et PsyPhilo et Psy

    - Les voix et les cris des enfants que j'entends dans la cour de récré, à côté de la bibliothèque,

    - Me réveiller tôt, faire mon lit, boire mon café, et traînasser jusqu'à midi,

    - Tous ces chanteurs morts qui me chavirent le coeur : Janis Joplin, Elvis Presley, Judy Garland...

    - Rentrer du boulot à pied, sans me presser, un peu au hasard dans les rues de Paris,

    - Regarder les films et les documentaires que j'ai enregistrés au moment E-XACT où ils m'apporteront ce que je recherche,

    - Mes blogpotes, il y en a toujours une ou un qui est là,

    - Que certain copain, toujours le même, me propose d'aller "discuter le bout de gras" dans un café : "Allez, ça fait longtemps qu'on s'est pas vus !..." (une semaine maximum en général), alors que j'étais partie pour faire quelque chose que je ne ferai pas, et que je ne regretterai pas, c'est mon copain de procrastination...

    - Envoyer ch... les c...,

    - Etre gentille et attentive,

    - Ma patience.


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  • Philo et Psy

    Il était un grand mur blanc _ nu, nu, nu,
    Contre le mur une échelle _ haute, haute, haute,
    Et, par terre, un hareng saur _ sec, sec, sec.

    Alors il monte à l'échelle _ haute, haute, haute,
    Et plante le clou pointu - toc, toc, toc,
    Tout en haut du grand mur blanc _ nu, nu, nu.

    Il laisse aller le marteau _ qui tombe, qui tombe, qui tombe,
    Attache au clou la ficelle _ longue, longue, longue,
    Et au bout le hareng saur _ sec, sec, sec.

    Il redescend de l'échelle _ haute, haute, haute,
    L'emporte avec le marteau _ lourd, lourd, lourd,
    Et puis il s'en va ailleurs _ loin, loin, loin.

    Et depuis le hareng saur _ sec, sec, sec,
    Au bout de cette ficelle _ longue, longue, longue,
    Très lentement se balance _ toujours, toujours, toujours.

    J'ai composé cette histoire _ simple, simple, simple,
    Pour mettre en fureur les gens _ graves, graves, graves,
    Et amuser les enfants _ petits, petits, petits.


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  • Dimanche, je suis restée scotchée à ma tévé

    et j’ai passé toute la journée avec lui sur Arte :

    Son immense sens du rythme et de l’harmonie,

    sa créativité, son sens sympa de l’humour,

    ses amis ( ? : l’argent et la bonne vie ça compte…),

    sa femme, sa fille,

    surtout son intensité à chanter et à bouger.

     

    Cui que j’aime, c’est cui-là :

     

     

     

    Là, je voulais mettre une photo de lui pas longtemps avant sa mort, mais finalement, j'ai pas pu !... 

    Je sais pourquoi il n’a pas réussi à être en paix,

    il a trop souffert de s’être oublié,

    la célébrité l’a aidé.

    Des fois c’est pas bien d’être trop apprécié.

    Il n’était qu’un petit blanc,

    un blondinet qui s’est teint les cheveux en noir (pour l’époque : abadidon !…)

    qui a appris au monde entier

    à aimer la musique noire,

    la country, le rockabilly,

    qui a aussi chanté LA chanson avant de mourir :

    « Heartbreak Hotel » qu’a repris Chis Isaak.

    Vraiment, je l’aime, Elvis Presley…

    Aussi pask’il aimait tellement sa mère

    qui avait perdu son frère jumeau…

    Je sais pourquoi il se posait tant de questions.


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  • Philo et Psy

    "La dame à la licorne", Musée de Cluny, Paris.

    Il nous reste les girafes :

     Philo et Psy


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