• Special dedicace to Marie...                                       Special dedicace to Marie...                              

       Au naturel...                                             Photo de studio

    Ca fait 6 ans déjà...
    Avant ce sinistre 1er août 2003, je disais toujours : "Si j'étais un homme, je serais amoureux d'elle...".


    Les dangers des femmes, ça peut être les ragots, les paroles blessantes, la manipulation, le harcèlement.
     

    Les dangers des hommes, c’est les mêmes.

    Mais ils ont une autre place que les femmes dans la société.

    Il existe même des lois contre la discrimination sexuelle,

    ça veut bien dire que tout n’est pas réglé ni équitable.

    Alors si l’un deux bat une femme, l’emprisonne, la viole, la torture, si l’envie lui vient de la tuer…

    Ca s'est encore dégradé depuis 2003.
    Aujourd'hui en France, une femme meurt tous les 2 jours sous les coups de son compagnon.


    Le 25 novembre a été proclamée la Journée internationale pour l'élimination des violences faites aux femmes par les Nations Unies.


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    Ces images sont extraites du film qu'il a co-écrit avec Alain Resnais "Mon Oncle d'Amérique". Sorti en 1980, avec Nicole Garcia, Gérard Depardieu, Roger Pierre.

    Si cela vous intéresse, vous pouvez également lire "Eloge de la fuite", qui existe en Poche, et que je ferais d'ailleurs bien de relire...

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  • J'aurais voulu un sketch plus récent, de son dernier spectacle, mais j'ai pas trouvé pour l'instant.


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  • Tiré des conférences "Lettres à l'intime de soi" de Jacques Salomé
    Charte de vie pour de meilleures relations dans mon travail

     

    Quelle que soit ma fonction, quel que soit le poste que j’occupe, quelle que soit mon ancienneté, j’ai besoin d’être reconnu comme une personne.

    J’ai aussi besoin d’être valorisé,  gratifié dans ce que je fais. Oui, j’ai besoin que quelqu’un me renvoie de temps en temps une image positive de moi pour dépasser mes limites.

    J’ai besoin d’être informé, consulté parfois, pour tout ce qui concerne l’évolution de mon travail, de mon poste, de mes responsabilités.

    J’ai besoin d’un positionnement clair, constant et cohérent de la part des personnes en autorité pour tout ce qui touche à mes devoirs, à mes engagements envers l’équipe, l’institution ou la société dans laquelle je travaille. J’ai besoin également d’un positionnement sans ambiguïté sur mes droits, d’engagement de l’institution, de l’équipe, de la société à mon égard.

     

    Je ne veux pas être l’objet de la fluctuation des désirs et des peurs de chacun au moindre malentendu, à la moindre divergence, ou à la moindre maladresse de ma part, au moindre incident.

     

    J’ai besoin que mon point de vue soit entendu, même s’il n’est pas toujours retenu ou pris en compte. J’ai besoin de rendre compte de mon travail et d’avoir une écoute en face pour en évaluer les possibles.

    J’ai besoin d’être passionné, d’avoir des buts, des projets et même d’avoir la possibilité de conserver des rêves et de rêver à des changements.

     

    Je voudrais rappeler que c’est huit heures ou plus de ma vie que je vends chaque jour en travaillant, et que je suis sensible à la qualité de vie de ma vie durant ce temps, car elle se répercutera sur l’ensemble de mon existence et de mes relations.

     

    Si chacun de ces points peut être entendu, et vécu sur mon lieu de travail, vous pouvez être assurés que je peux collaborer au maximum. Mais quand je ne suis pas reconnu, quand je me sens critiqué, jugé, quand mon point de vue n’est pas entendu, quand je ne reçois aucune valorisation, que je ne suis qu’un exécutant, quand je m’ennuie, quand je ne peux pas me reconnaître dans l’incompétence de mes supérieurs, alors, parfois, je deviens exécutant bête et passif, et quelquefois même con et méchant, même si je le ne montre pas toujours au grand jour.

    Valable également au féminin !

    C'est monsieur Hulot (Jacques Tati) de dos sur la photo, mais je ne sais plus dans quel film...


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  • Philo et Psy

     

    Notre cerveau  se compose de plusieurs zones, dont l’une remonte à la nuit des temps, bien avant l’homme des cavernes. Le cerveau reptilien se comporte comme une banque de données, qui date de bien avant l’aube de l’humanité.

     

    Le cerveau reptilien concerne nos besoins biologiques, à savoir boire, manger, dormir et se reproduire.

    Mais il se préoccupe également d’autres besoins liés à la survie.

    En 1er lieu, il y a le besoin de sécurité.

    S’il est satisfait, il mène à un sentiment de confiance.

    Insatisfait, il induit un sentiment de peur et conduit à la fuite.

    Le 2nd est le besoin d’identité, la différence de chacun à l’intérieur de « son » groupe, l'harmonie de chacun avec la communauté à laquelle il se sent appartenir.

    Satisfait, il mène à la notion d’amour dans le sens large.

    Insatisfait, il mène à un sentiment de colère et nous mène à adopter un comportement agressif.

    Le 3ème  est celui de la réalité d’être, notre relation entre « soi et soi », le respect que nous pouvons ressentir pour nous-mêmes.

    Satisfait, il mène à la sérénité et à la sagesse.

    Insatisfait, il génère de la tristesse et de la fatigue, qui peuvent entraîner un repli sur soi, voire un comportement suicidaire.

    Quand ces 3 besoins sont satisfaits, l’être humain peut accéder à son cortex.

    Les problèmes deviennent projets, la créativité peut exister.

     

    Dans l’amour, dans le sens « être amoureux de quelqu’un » ou « aimer quelqu’un », c’est parfaitement impossible tant que l’un des partenaires est exclusivement préoccupé par un ou plusieurs de ses besoins biologiques.

     

    Gigi, je t’avais parlé d’un article sur l’amour fusionnel. En fait, je voulais simplement parler de l’amour quand il n’est que des mots et pas une réalité…

    Je ne crois pas à l’amour fusionnel, pour faire court, il y en a toujours un qui est « bien plus fusionnel » que l’autre…

     

    J’espère que je ne vous aurai pas trop ennuyés !


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